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lundi 10 juillet 2017

Droit de réponse: VINCENT DICKO HANOUNE CONDAMNÉ PAR LE TGI DE PARIS POUR DIFFAMATION ENVERS ABDOULAYE DIAGANA ET OULD JEILANY


             
En attendant de recevoir cette condamnation à mon absence et celui de mon avocat, je vous laisse découvrir ce que disent mes adversaires  qui s’adonnent avec excès de zèle  à faire un tapage incroyable autour d’une condamnation en diffamation comme si je suis le premier et le dernier à être condamné pour diffamation. Chose étrange, mes adversaires qui disaient hier seulement à qui voulait les entendre que je ne représente rien à leurs yeux, pourquoi alors gaspiller toute leur énergie sur quelqu’un qui ne représente rien à leurs yeux ? A noter également, la procédure judiciaire n’est pas fini, donc c’est très tôt de se réjouir. Si demain, je suis relaxé, ils vont devoir republier d’autres articles dans le sens contraire ou inverse.



PS : Ne cherchez pas l’article incriminé dans cette plainte en diffamation dans mon blog ni ailleurs, il a été supprimé depuis en mars 2015 sur demande de plusieurs amis de mes adversaires mais également mes propres amis que les auteurs de la plainte avaient  promis le retrait de leur plainte qui s’avère aujourd’hui  un mensonge tellement gros, qui fait oublier ma condamnation. Ils ont beaux à vouloir berner le public, leur mensonge reste entier, j’avais averti tous mes amis et partenaires qu’ils ne respecteront rien tellement qu’ils sont de mauvaise foi, il fallait laisser la justice trancher, me demander le retrait de l’article, suivi d’un texte à publier mais bon, voila leur vraie nature qui apparaît au grand jour. Trompé les gens n’a jamais été un métier payant. La vie nous réserve d’autres surprises certainement plus hallucinantes que celle-ci. 

C'est quoi mon regret au jour d'aujourd'hui? Evidemment d'avoir cédé sitôt en supprimant l'article incriminé en question tout en sachant que mes adversaires sont de mauvaise foi. Ma consolation? C'est de savoir que la faille ne vient pas de militants, de mes amis, mes proches et partenaires, des journalistes également, tout ce monde se sent   trahi et embarqué dans des mensonges et fausse promesse la fin des procédures. Tout le monde prétendait  les deux plaignants sont de "bonne foi" pour trouver une solution définitive sans passer par la justice, un exemplaire  du coran dans la main arpentant  des bars parisiens pour jurer, ben alors, qu'en est-il aujourd'hui? 

Diko Hanoune avait-il raison ou non? Ces hommes et femmes qui utilisent leur plume pour mettre en danger des militants abolitionnistes qui croupissent dans des bagnes illégalement, auront toujours des articles ripostes à ce qu'ils publient. Des procédures en diffamation peuvent être engagées N fois  contre ma personne, cela n’empêchera jamais qu'on dénonce l’inexactitude des fausses informations tirées des cheveux qu'ils publient pour salir notre combat, notre cause dont certains iront jusqu'à chanter que la lutte contre l'esclavage est un "fonds de commerce" pour nous. 

Ce ne sont pas le faux témoignage d'un beau frère (histoire d'un témoignage familial) devant le tribunal de paris qui fera taire Diko, non, il faudra couper ma tête pour me faire taire définitivement. Nos adversaires ne sont pas les seuls à connaitre les procédures ni les seuls ayant le droit des plaintes. Le plus dur reste à venir, ce n'est pas le début mais la fin. 



Bonne Lecture
DIKO Hanoune

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