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jeudi 30 octobre 2014

Jusqu’à quand les imams esclavagistes seront au dessus de la loi ?


La vérité sur ce qui s’est passé à la mosquée Saoudienne de Nouakchott. Le Mufti esclavagiste maure Ahmed Lemrabott Habibou Rahman n’a pas apprécié qu’un autre imam le contredit devant des « fideles » qu’ils enseignent les pratiques de l’esclavage, surtout venant  d’un imam issu de la communauté haratine  victime de l’esclavage maure lui mettant les points les I sèchement à propos de l’esclavage  selon le saint coran. Vous allez le constater de vous-même, les imams esclavagistes maures n’hésitent pas à recourir aux mensonges dans nos mosquées sans remord. Une vidéo qui montre l’homme debout devant l’assemblée naturellement, qui apporte un démenti saignant aux prêches mensongères de certains oulémas maures, accusant l’auteur d’agression sur la personne de l’imam esclavagiste maure, un alibi pour le jeter en prison bien évidement c’est tout alors que l’homme ne manifeste aucune agressivité dans son comportement ni dans son discours, il rappelle l’esprit du saint coran sur la question de l’esclavage ; il s’appelle  l'imam Brahim Jiddou qui était venu accomplir sa prière du vendredi dans cette mosquée Saoudienne au moment des faits. C’est son démenti par son discours d'un Islam juste, égalitaire qui a mis le Mufti Habibou Cheytane et sa meute raciste, esclavagiste en colère surtout qui ont eu le soutien par renfort immédiat des esclavagistes arabo-berbères au pouvoir en Mauritanie accompagnés par une horde de fumistes nègres de services féodaux qui prônent la suprématie religieuse dans le sud du pays. Le crime de l’imam Brahim qui est jeté actuellement en prison comme un impropre est  d’avoir donné une version anti-esclavagiste et intègre de l'Islam. L’imam Brahim doit être libéré immédiatement sans condition,  Le Mufti esclavagiste maure Ahmed Lemrabott Habibou Rahman  doit être arrêté, jugé, condamné pour apologie d’un crime contre l’humanité puni par la loi Mauritanienne, puni par les traités, conventions internationaux que l’état Mauritanien a signé et ratifié.


Loi 2007-048 relative à l’esclavage


Article 10 : L’auteur de production culturelle ou artistique faisant l’apologie de l’esclavage est puni d’un emprisonnement de six mois à deux ans et d’une amende de cinquante mille  (50.000 UM) à deux cent mille ouguiyas (200.000 UM) ou de l’une de ces deux peines. La production est confisquée et détruite et l’amende est portée à cinq millions d’ouguiyas (5 000 000 UM) si la production est réalisée ou diffusée par une personne morale.

Article 11. - Toute personne physique coupable d’actes discriminatoires envers une personne prétendue esclave est punie d’une amende de cent (100.000 UM) à trois cent milles ouguiyas (300.000 UM).
Toute personne morale coupable d’actes discriminatoires envers une personne prétendue esclave est punie d’une amende de cinq cent milles (500.000 UM) à deux millions d’ouguiyas (2.000.000 UM).

Article 12 : Tout wali, hakem, chef d’arrondissement, officier ou agent de police judiciaire qui ne donne pas suite aux dénonciations de pratiques esclavagistes qui sont portées à sa connaissance est puni d’un emprisonnement de deux à cinq ans et d’une amende de deux cent mille ouguiyas (200.000 UM) à cinq cent mille ouguiyas (500.000 UM).

Article 13 : Quiconque profère en public des propos injurieux envers une personne prétendue esclave est puni d’un emprisonnement de onze jours à un mois et d’une amende de cinq mille (5.000 UM) à cent mille ouguiyas à (100.000 UM) ou de l’une de ces deux peines.





Images de Manifestations de soutien à l’imam Brahim Ould Jiddou séquestré par la police au service de la machine esclavagiste religieuse des autorités Mauritaniennes suivie par une répression féroce sur les militants des droits de l'homme.















Diko hanoune 

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