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mardi 9 septembre 2014

Mme Irahabiha Mint Abdel Wedoud s’accaparent des cas d’esclavage que les ONG abolitionnistes




Mme Irahabiha Mint Abdel Wedoud s’accaparent des cas d’esclavage que les ONG abolitionnistes ont portés devant des tribunaux pour les exhiber comme exploit en matière de lutte contre l’esclavage. C’est une aberration totale, cette dame n’a plus de milite dans son délire débile de mensonges d’état.

C’est effrayant se qui passe en Mauritanie, les mensonges n’ont plus de milite pour brouter le pays. Pendant qu’une mauresque bien lotie ayant des esclaves à son service du bureau jusqu’à son domicile  nie l’esclavage devant  un parterre des nations. S’il s’agit de discours mensongers, ils sont indétrônables ; ainsi on apprend pour la première fois de cette menteuse professionnelle, Mme Irabiha Mint Abdel Wedoud qui dirige la boite à pillage des ressources des victimes de l’esclavage apporte l’assistance juridique, traque des esclavagistes maures dans le pays etc..... Mon Dieu que c’est terrible pour ces incompétents menteurs. Pire elle nie l’existence de l’esclavage puis elle défend apporter assistance aux  victimes de l’esclavage dont 26 cas en cours alors les victimes sont interdits d’accès à la commission qu’elle dirige. Mon Dieu ;  comment cela est possible ?

Irabiha : «  Les séquelles des pratiques esclavagistes, qui sont un épiphénomène amplifie, existent comme dans de nombreux pays, dans toutes les communautés mauritaniennes et sont les vestiges d’un passé révolu. »

27 ème session du Conseil des Droits de l’Homme: Déclaration orale de Mme Irabiha Abdel Wedoud, présidente de la CNDH

« La CNDH de Mauritanie, dans le cadre de son plan d’action de promotion et de protection des droits de l’Homme, appuie les victimes des séquelles de l’esclavage par les mesures suivantes :

- L’assistance juridique et judiciaire par des avocats en cas de saisine ;

- L’'accès au droit et à l'information juridique notamment sur la loi incriminant l’esclavage, par des conseillers spécialisés ;

- L’alerte des autorités judiciaires en cas d’allégation d’esclavage ;

- Le renforcement des capacités des organisations de la société civile en matière de promotion des droits de l’homme et de protection des droits des personnes victimes des séquelles de l’esclavage ;

- Le partenariat et la synergie avec les organisations de la société civile œuvrant dans le domaine de la promotion et de la protection des droits de l’Homme.

Depuis trois ans, la CNDH a répertorié 26 cas de pratiques esclavagiste depuis ayant fait l’objet d’un traitement judiciaire alors que d’autres restent encore pendants devant les juridictions. »

Conclusion : elle ment comme elle respire cette dame.

Diko hanoune

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