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vendredi 22 août 2014

Pourquoi l’échec de cette lutte qui dure depuis les années 1966 ?


Pourquoi l’échec de cette lutte qui dure  depuis les années 1966 ? Début de réponse avec cette fraiche affaire de Niabina. Juste un constat qui fera parler des cerveaux hein !
Que retient-on sur l’affaire de Niabina ? Est ce que logique qu’on laisse passer cette affaire grave sans que des têtes ne tombent ? L’excès de zèle du gouverneur, le préfet, le ministre de l’intérieur, le ministre de la justice, les élus etc... Passe comme ça sans protestation de tout le village et de la commune entière? N’est ce pas je vous le disais  que les populations à l’intérieur du pays  n’ont pas été prises en charge par les partis politiques, mouvements et ONG ? Ce qui permet au pouvoir de faire ce qu’il veut et comme bon lui semble. Comment comprendre les parents du jeune menteur Mohamed Mohamed Ould Cheikh Ould N'zil  ont tout de suite compris l’utilité de se mobiliser en faisant des  sit-in accusant tout un village alors que les villageois victimes n’ont pas fait la même chose pour demander des comptes au gouverneur, préfet, commandant de la gendarmerie, ministre de l’intérieur, ministre de la justice élus etc... ? Il y a du travail à faire à l’intérieur du pays rapidement...

« Les membres de la famille  de Mohamed Mohamed Ould Cheikh Ould N'zil, ont érigé des tentes à Niabina où ils ont tenu un sit-in dénonçant « la léthargie et le laxisme » des autorités administratives et sécuritaires. Quatre personnes (El Hadj Hamady Sy, son frère Abdoulaye, Damani Bâ et Thiama Bâ) ont été interpellées dans cette affaire avant d’être remis en liberté faute de preuves.

En effet,  cinq jours durant, la ville de Niabina est  restée en état de siège permanent. Les forces de gendarmerie venant de toutes les brigades du Brakna, des éléments de la police  et de la garde ont assiégé cette localité relevant du département de M’Bagne

 Sans prendre les précautions d’usage, les forces de sécurité sous la houlette du gouverneur du Brakna arrivé depuis mardi sur place  procèdent, vendredi à l’interpellation de cinq  personnes originaires de Niabina avant d’en libérer quatre.  Elhadji Hamadi Sidi le seul habitant de Niabina était entre les  liens de détention jusqu’à l’annonce de la réapparition de Ould N’Zil.

En l’absence de preuves matérielles ou même de piste de recherche, les forces de sécurité avaient  eu l’intention, selon les ressortissants de Niabina, de déterrer quelques tombes au cimetière de Niabina.

Que feront maintenant les autorités surtout le gouverneur qui a déserté cinq jours durant son bureau pour « superviser » l’opération commando ? »

Diko hanoune

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