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jeudi 27 septembre 2012

AJD/MR : «Be kawii Be kanndiima»:Les Noirs perdent la bataille!





Interview d'Ibrahima Moctar SARR (1ère Partie)

In the name of Allah, Most Gracious, Most Merciful

 Il a été dit à Mr. Bocar Almada Fouta que, quand une personne ou un groupe de personnes  entreprennent  des actes positives,  eh bien, il faut reconnaitre et apprécier ces actes positives, et donc d’encourager les individus ou l’individu à en faire d’avantage.

Il y a du POSITIVE dans cette première partie de l’interview du responsable politik du parti. Et ceci en attendant de savoir ce qu’il aura  dans la deuxième partie—une interview conduite par notre ami Mr.  Ba Bocar Almada Fouta, « l’homme parmi les hommes qui ne fuient pas les débats ».

Ce qu’il ya de Positive dans l’interview, est que, le  responsable du parti politik,  pour la première fois , n’a pas mâché  ses  mots a l’égard du SYSTEME APARTHEID beydane raciste esclavagiste, et surtout a l’égard du petit brigadier beydane raciste qui, a l’époque,  était qualifie’ de «homme de confiance» (Revoir vos archives).

Dans cette première partie de l’interview, le  langage du chef du parti politik est clair, limpide, et sans ambages a l’égard de tous les beydanes racistes chauvins qui veulent l’entendre ---de commencer par le « faux general»-- c'est-à-dire «Sénéral Azziz».  

Ce qui suit une analyse de quelques passages de l’interview du responsable politik. Et pour plus de clarté, cet exposé est divisé en différentes parties:

I. Le Chef du parti explique exige que lumière soit faite sur l’assassinat du jeune Lamine Mangane  

« [….] Le Bureau Politique de l’AJD/MR a décidé sur le coup de suspendre toute participation à la majorité et posé en autres conditions que la lumière soit faite sur ce crime et que les coupables soient traduits devant les tribunaux. Au bout de six mois d’attente et après avoir fait le bilan de notre participation à la majorité, nous décidons notre retrait définitif. »
Retenons ici : « Que la lumière soit faite sur ce crime et que les coupables soient traduits devant les tribunaux » mais surtout : « […] on ne pouvait pas continuer à travailler avec un régime qui tue nos enfants. »

II.   Le Chef du parti politik reconnait que,  «Rien n’a change’ a l’intérieur de  la Mauritanie»,  contrairement a  « Tout a change’ a l’intérieur de la Mauritanie » comme le croyaient naïvement certains kadres du parti, au congre’ des FLAM en 2005.
-« Le système qui dirige ce pays depuis toujours et incarné par l’actuel régime n’a plus de gêne pour agir de la sorte. L’exclusion des négro-africains de l’administration est presque achevée, les élites ne se renouvellent pas et, ce n’est même plus une question de langue, les arabisants négro-africains ne sont pas promus pour autant, ceux qui sont en place ne sont pas utilisés. »
 Cet extrait de l’interview se passe de commentaires, surtout quand  le chef du parti politik se lamente en ses termes: «L’exclusion des négro-africains de l’administration est presque achevé ». Pour étayer son argument, le chef du parti politik évoque les dernières nominations racistes du petit brigadier beydane raciste anti Noirs —des nominations racistes dans lesquelles,  sur 43 nominations au total (nominations konseil de ministres et nominations police), il n’y avait en tout et pour tout que  trois (3) Toukouleurs.  Ces trois toukouleurs étaient des halpulaars. C’est dire que les Soninkés, les Wolofs et les Bambaras n’existent pas en Mauritanie (Revoir vos archives)

-- « Le système esclavagiste et racial est devenu par la force des choses tribal. En effet, un peuple qui en opprime un autre n’est jamais libre».
De ce passage,  la déduction logique est que, les Beydanes racistes esclavagistes sont également des esclaves, car « un peuple qui en opprime un autre n’est jamais libre.» 
--« La situation particulière des négro-africains résulte en premier lieu de l’action néfaste du système ségrégationniste depuis le régime de Moctar Ould Daddah, elle a été surtout aggravée par la purge ethnique organisée par le régime le plus négrophobe de tous les temps, celui de Moawiya Ould Sid’Ahmed Taya, appuyé par certains groupes nationalistes arabes.»
De ce dernier passage, il faut surtout garder: « Le Système ségrégationniste depuis le régime de Moctar agrée  par ; la purge ethnique organise’ par le régime negrophobe de Maouya Sid’ahmed Taya appuyes par des beydanes [racistes complexxes’].»

III. Au cours de l’Interview, le chef du parti politik affirme que les Noirs ont désormais perdu la bataille.

-- « Nous avons fondé beaucoup d’espoir sur le Président Mohamed Ould Abdel Aziz, qui peine à résoudre le passif humanitaire matériel depuis déjà trois ans qu’il est légalement au pouvoir. Avant 1986, même Moawiya n’osait pas faire des nominations de ce genre en Conseil des Ministres, mais comme disent les pulaars « Be kawii Be kanndiima », la boucle est bouclée ! »
De ce passage sans ambages,  le ton de désespoir double’ d’une grande frustration du chef du parti, est bien clair quand il dit : « Nous avons fondé beaucoup d’espoir sur le Président Mohamed Ould Abdel Aziz, qui peine à résoudre le passif humanitaire matériel depuis déjà trois ans qu’il est légalement au pouvoir.»
De ce passage, on ne peut  plus clair, il faut conclure que, nom seulement  « l’homme de confiance » est un raciste  épaté, mais également un traitre vulgaire a la nation. D’où donc il ne fallait jamais avoir confiance a «l’homme de confiance.»
Cependant le désespoir et la frustration du chef du parti  politik atteignent surtout le sommet quand il confesse que,  Noirs ont perdu la bataille devant les Beydanes racistes et le Système Apartheid racistes esclavagiste.  Et c’es pour confirmer cette defaite, il dit : «Avant 1986, même Moawiya n’osait pas faire des nominations de ce genre en Conseil des Ministres, mais comme disent les pulaars « Be kawii Be kanndiima », la boucle est bouclée ! »--
Pour ceux qui ne parlent pas la langue Pulaar : « Be kawii Be kanndiima », cela a veut dire qu’ils [les Beydanes et le Système apartheid beydane raciste esclavagistes] ont totalement remporte’ la victoire contre les Noirs qui ont perdu la bataille.

 IV. Le Chef du parti fait politik fait recours au Hadiths du Prophète (PLS) et fustige le petit brigadier beydane raciste et le système Apartheid raciste :

-« Donc, aucune gêne, aucune honte, qui ose parler de peur d’offenser ? Le prophète (PSL) n’a-t-il pas dit « celui qui n’a pas honte, qu’il fasse ce qu’il veut ».  Je crois sincèrement que Mohamed Khouna Ould Haïdalla a été le Président le plus soucieux de l’unité et de l’égalité entre nos composantes nationales. C’est lui qui a aboli l’esclavage et promulgué les mesures d’octobre 1979 donnant aux langues nationales pulaar soninké et wolof une place de choix que nous avons perdu aujourd’hui. »

Cet extrait de l’interview se passe également de commentaires. Le responsable du parti politik affirme, et a juste titre que, les beydanes sont des munaafiquun qui n’ont honte de rien. Se dire « Musulmans » et en même temps se livrer à des actes racistes abjects, c’est mentir: Car un  Musulman ne doit pas discriminer. « Akaramakoum inndal Laah atqaakoum» (L e saint Coran)

V. Le Chef du parti politik fustige les Negres de services traitres -espions qui ont aide’ Maouya  de commettre le génocide contre leur propre race :

 « Qui pourrait imaginer qu’en 2012, deux chaînes de télévision et cinq chaînes de radio privées seraient autorisées en excluant les promoteurs négro-africains ? Encore une fois, il ne s’agit plus de pleurnicher sur la situation, personne ne doit plus s’en étonner, même certains arabes de bonne foi le reconnaissent quand ils n’en font pas un cheval de bataille contre l’actuel pouvoir, alors qu’ils ont participé au génocide organisé par Moawiya devant la complicité de certains cadres négro-africains qui veulent jouer aujourd’hui aux défenseurs de la communauté martyrisée. Quand on voit maintenant ceux qui parmi des négro-africains qui niaient systématiquement cette oppression nationale et taxaient tous ceux qui la dénonçait d’ennemis du peuple, de diviseurs et de nationalistes étroits, s’ériger en grands théoriciens de l’exclusion, on peut dire que la situation a évolué ! »
Ce qui est révélateur c’est quand le responsable du parti politik dit : « il ne s’agit plus de pleurnicher sur la situation, personne ne doit plus s’en étonner, même certains arabes de bonne foi le reconnaissent quand ils n’en font pas un cheval de bataille contre l’actuel pouvoir, alors qu’ils [Beydanes terroristes] ont participé au génocide organisé par Moawiya devant la complicité de certains cadres négro-africains qui veulent jouer aujourd’hui aux défenseurs de la communauté martyrisée ».
Ici il faut surtout retenir quand il dit : «la complicité [du GENOCIDE] de certains cadres négro-africains qui veulent jouer aujourd’hui aux défenseurs de la communauté martyrisée.»

Conclusion-Question :
Mr. Bocar Alamada Fouta, de par cette interview, est-ce à dire que l’AJD/MR-C est sur la bonne voix de devenir un mouvement de masses,  a l’image de TPMN et de l’IRA ?
Il n’est jamais tard pour un parti politik mal parti de se ressaisir et de devenir un mouvement de masses opprimées , exclues, et marginalisées qui continuent de languir sous la domination. Mais malgré cette marginalisation continue,  un des kadres du parti, politik, répondant au nom de « Moulaye Dioum », lui regrette le départ de l’AJD/MR  de la « Majorité présidentielle raciste».
Ce kadre égaré exprime son regret en ces termes : «Je pense que nous aurions dû rester dans la majorité présidentielle. Même si nous n'occupons pas des fonctions nos idées pourrons l'être ». ??!!!!
Quelquefois il est  vraiment difficile de comprendre la psychologie du Negro opprime’. Sinon,  « rester dans la Majorité présidentielle raciste» what for 
Kowri Soh
Baltimore, USA


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