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mercredi 21 décembre 2011

Un gouvernement de tergiversations et de contradictions


Ndjamdi Ndi / 21 décembre, 2011.
Le gouvernement du général talibé de Maouya est rentré dans les anales des tergiversations et des contres vérités.
Jamais dans l’histoire récente de l’humanité et de la Mauritanie un régime n’a autant montré ses limites en si peut de temps avec une assiduité aussi déconcertante.
Voila quelque grands moments de l’histoire naturelle d’un pouvoir nait de décadences :
Une campagne sous sceau de la lutte contre la corruption et une gouvernance de « remouz el vassad »
Le tout nouveau général putschiste pour se relancer à lancer une campagne sans précédente contre ceux qu’il  appelle alors « remouz el vassad » pour se démarquer du régime fondateur, formation, criminel et père, du colonel Ould Taya (qui se la coule douce dans la péninsule arabique).
Le général en grand guerrier s’en prenait à ses anciens amis et compagnons qui se sont enrichis  mais qui ont surtout commis l’un des plus grands crimes ; le refus de le soutenir contre le pauvre vieux marabout qu’il a délogé du palais, il fallait alors trouver une qualification pour tous ceux qui sont restés fidèle au régime mort fœtal de SIDI.
Mais comme le montre l’exercice du pouvoir, très différente de la théorie, le Général a aujourd’hui fini de recyclé le PRDS, car il a hérité ses conseillers municipaux, ses députés, ses ministres, ses politicien et ses laudateurs qui en constituent  la masse la plus fidele mais aussi le plus grand contingent de « remouz el vassad » du pays.
Si au bout de 2 ans l’homme Bodiel Ould Homoïd est devenu si désirable au point d’être considérer comme  un future premier ministre,  on ne peut alors que constater  le long chemin effectué par pouvoir actuel pour se  rendre en douceur aux conditions de 2005.
Le Général a vraiment rectifié !!
Le premier ministre, son Arabe et l’école ou une constitution aux articles impossible a respecté
Ce jour là devant des journalistes étonner le premier ministre disait qu’il ne parlera plus en français car la constitution de la Mauritanie n’indique qu’une seule langue internationale  « l’arabe », après cette malheureuse déclaration qui défit toute intelligence d’un homme d’ETAT le pays fut envahie par une vague de contestation venue de là où il fallait, l’école !! Oui l’école mauritanienne est la preuve que cette article de la constitution ne sera jamais applicable dans notre pays car si le français n’est mentionné nul part dans notre constitution il est partout présent dans nos école et le plus grand nombre de nos enfants font leurs études en français et la plus grande partie de nos étudiants à l’étranger se trouve faire des études supérieurs dans des pays francophones.
Pourquoi alors nous imposé d’écrire dans la constitution des lois qui ne sont pas respectables si ce n’est pour rendre notre gouvernement anticonstitutionnelle chaque fois que il  fait ses communications en français , nos journalistes chaque fois qu’ils écriront en français , nos enseignant chaque foi que ils enseigneront en français , puis que c’est ce qui se passe chaque jours , ces l’articles de la constitution qui est contraire à la constitution puis qu’une constitution c’est l’aspiration d’un peuple.
L’aspiration du peuple mauritanien n’est pas de fermé la porte à la langue française.
Le ministre de l’intérieur avec son arrêt unilatéral du retour des refugié
Un petit matin du début d’année 2011 le ministre de l’intérieur le très fantoche Ould Boilil dit que la Mauritanie (qui a pourtant signé un accord tripartite avec le HCR  et l’ETAT voisin du Sénégal) a arrêté le rapatriement des refugiés mauritaniens au Sénégal sans oublier de zappé copieuse ceux du Mali car ont fait comme s’ils n’existent pas, même si on les entend souvent réclamer leurs droits de retour.
Mais 10 mois après, vers la fin de cette même année 2011 le rapatriement des refugiés mauritanien au Sénégal a repris avec rythme et trompète, que  il s’est-il passé  entre temps ?  Pourquoi un ETAT laisserait il planer le doute sur son devoir de ramener au bercail ses citoyens dont le chef d’ETAT a déjà condamner la déportation.
Il me semble que le comble c’est de vouloir ridiculiser notre pays en le rendant coupable d’une rupture abusif de contrat qui le lié avec un pays frère le Sénégal mais aussi avec l’organisation onusienne du HCR.
Mais au finish la fin proclamé des refugiés mauritanien au Sénégal par le ministre de l’intérieur responsable au sein du gouvernement de la question ne concerne que lui.
Le brigadier lors d’une journée paisible a Paris face a l’esclavage et la justice de Nouakchott.
Paisiblement à Paris face à nos vaillants journalistes de kassataya le brigadier très inspiré a choisie de mettre fin à l’esclavage en Mauritanie à sa manière, il disait alors en substance que l’esclavage n’existe pas en Mauritanie que les organisations et mouvements abolitionnistes ne chercher qu’a s’enrichir  sur le dot des pauvres citoyens , il a alors fait noter que n’est esclave que celui qui le veut.
Une mauvaise manière de raconter tous haut ce qui est tout faux avec froideur et une tranquillité déconcertante que font les hommes habitué aux mensonges.
Mais quelques jours après, la justice de notre pays pourtant habituer à suivre les directives du chef d’ETAT qui gouverne, une justice malléable, élastique et très à l’écoute des directives du pouvoir a eu le courage de condamner  une famille pour pratique d’esclavage, un désaveu important contre notre Général qui n’a pas su remué sa langue lorsqu’il a pris le Yaourt bien frais du pays des gaulois. Comme on le dit souvent,  beau mentir celui qui viens de loin.
Aziz demande pardon  et ses amis criminels nient : l’histoire de la diarrhée  a tropisme raciale et ethnique
En grand pompe devant les populations de Kaedi, des religieux et hommes politique, le Général demanda pardon pour l’ETAT mauritanien des crimes commis durant les années que son maitre a gouverné notre pays pendant  que lui assurer sa sécurité.
Des crimes dont il ni la participation et confit la responsabilité a des ennemies de la nation, des ennemies de la nation dont certain pourtant il a promu au grade de général et d’autre continuent a profité de tous les bienfaits de la nation.
C’est là que le bât blesse et au lendemain  du 28 Novembre commémoré par les organisations de droit de l’homme qui ont ramené au centre du débat, un général qui occupe une bonne place dans la liste des tortionnaires n’a rien trouvé de mieux à dire appart que les plus de 500 mort tous noir de l’ethnie halpulaar sont mort d’une diarrhée, une diarrhée !!! C’est tout simplement ridicule.
Une démocratie répressive
La démocratie, la liberté de manifesté etc….  ne concerne pas les militaires loin de là, le gouvernement du Général est l’un des gouvernements « démocratique » qui réprime le plus dans ce monde, d’abords les militants d’Ira-Mauritanie tabassé puis emprisonner, puis le mouvement du 25 Juin qui c’est fait copieusement dispersé avec notamment l’infiltration de petit bandit dans le groupe de marcheur.
Nous ne pourrons pas oublier cette répression qui s’est abattu sur le mouvement TPN qui a atteint son paroxysme avec la mort du jeune Lamine Mangane un crime qui reste toujours sans justice car ni le gouvernement du brigadier ni sa justice élastique n’a envie que la vérité jaillisse au grand jour.
Ndjamdi

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