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samedi 15 janvier 2011

La fièvre Tunisienne est une lueur d’espoir pour tous les opprimés


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Les autorités Mauritaniennes privent Birame Ould Dah Ould Abeid les soins médicaux. Comme quoi les promesses n’engagent que ceux y croient. Lors de la visite des parlementaires Italiens du parti radical non violent, les autorités Mauritaniennes disaient à qui veut les entendre qu’ils mettront le service médical à disposition pour  soigner les blessures de Birame Ould Dah Ould Abeid. De nos jours, notre camarade croupit avec ces blessures sans soins comme un vulgaire brigand. Il est formellement interdit de l’approcher, ces blessures à la tête et au genou sont entrains de le terrasser. Les autorités Mauritaniennes n’ont pas réussi à  le déstabiliser moralement, la solution actuelle consiste à l’éliminer physiquement. La face cachée du dossier, est celle que les autorités Mauritaniennes ont la trouille  dans le ventre surtout craignent que les médecins attestent avec des certificats médicaux les blessures profondes infligées à notre camarade par la police barbare et incompétente. Ce qui fera  sauter toutes les thèses imaginaires et fausses accusations de  la police Mauritanienne sur nos camarades qui sont arbitraires emprisonnés. La police Mauritanienne s’est spécialisée depuis plusieurs décennies dans le montage du faux et usage de faux en toute impunité contre le citoyen sous la couverture de la hiérarchie policière. Le général Ould Abdel Aziz qui s’était autoproclamé président  des pauvres,  des plus diminues et les déshérités du système judiciaire nous dévoile son vrai visage d’un  dictateur sans vergogne. Le départ du dictateur Ben Ali comme le plus grand voyou du siècle ne l’impressionne  pas  ni faire réfléchir le petit dictateur Mauritanien. Pourtant les signaux sont aux rouges, hausses des prix  des denrées premières alimentations, le chômage   touche plus de 80% des jeunes diplômés et les injustices occupent le quotidien de chaque Mauritanien. Malgré les immenses richesses halieutiques, de son sol et le sous-sol pour un  pays peuplé seulement de 3,5 millions d’habitants, une petite minorité s’est accaparée laissant l’écrasante majorité  des populations dans une pauvreté abjecte. La Tunisie s’est embrasée suite à l’abus  de pouvoir des policiers tunisiens qui sont semblables à ceux de leurs collègues Mauritaniens sur un jeune homme prit par la gorge et qui s’est immolé par la suite. Nous disons aux Mauritaniens, débarrassons-nous de ces dictateurs, y-a-en marre des discours creux sans effets. Une autre Mauritanie est possible  sans Aziz  et sa bande de gabégistes.


Merci

Diko hanoune

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